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Dans les médias, 2017

L'astronome dur à cuire

[Critique] 2017-02 « Épopée multiforme » Marie-Michèle Giguère, Lettres québécoises, Numéro 165, Printemps, 2017, p.29 (accès pour les abonnés)

Marie-Michèle Giguère décerne trois étoiles et demie à mon roman et écrit :

L'astronome dur à cuire semble être la création d'un cerveau qui pense (trop) vite. Et c'est furieusement amusant.

[...]

L'auteur a trouvé un créneau qui ressemble très peu à ceux de ses contemporains, et c'est tant mieux.

[Entrevue] 2017-02-09 Entrevue radiophonique avec Normand Mousseau à l'émission La Grande Équation à Radio VM. Entrevue

Dans cette longue entrevue, je parle à Normand Mousseau des détails de mon parcours universitaire, de la vie à Harvard, de mon processus d'écriture et du roman lui-même : la place de la route, de l'évangile secret de Jacques, comment le fait d'être scientifique conditionne mon écriture et mon narrateur. De mon roman qu'il qualifie de « fascinant » et de « très très riche », Normand Mousseau dit :

C'est vraiment un roman que j'ai beaucoup aimé, qui a beaucoup de contenu, où les personnages existent pour vrai.

[Recension] 2017-02 Marie-Hélène Therrien recense L'astronome dur à cuire dans sa chronique littéraire du journal Autour de l'Île. Journal complet ; la chronique est à la p.14

Marie-Hélène Therrien conclut ainsi le résumé de mon roman :

Un roman étonnant, original, qui fait réfléchir le lecteur et l'entraîne dans une aventure surprenante.

[Entrevue] 2017-01-22 Entrevue radiophonique avec Richard Massicotte à l'émission Les années lumières à Radio-Canada. Entrevue complète

Richard Massicotte aborde le sujet important de la santé mentale aux études supérieures, me pose des questions sur mon parcours universitaire et sur le thème religieux présent dans L'astronome dur à cuire.

[Entrevue] 2017-01-22 Entrevue radiophonique avec Jean-Paul Moreau à Unique FM.

Jean-Paul Moreau m'interroge sur la genèse de mon roman et note que

[...] c'est très difficile de décrocher, ça c'est un compliment qu'on vous doit, assurément, vous réussissez à nous accrocher jusqu'à la dernière page ou à peu près, c'est vraiment intéressant.

Dans les médias, octobre à décembre 2016

L'astronome dur à cuire

[Recension] 2016-12-15 David Laporte recense L'astronome dur à cuire et deux autres romans de route dans le magazine littéraire Nuit blanche. (Accès pour les abonnés : Réinventer la roue : petit panorama de littérature routière)

David Laporte souligne l'ambition et le mélange des genres dans mon roman. Reformulant à son compte une des conclusions de l'article, le mot éditorial du magazine commence par :

L’état des routes québécoises est excellent. Dans la fiction romanesque, s’entend. À preuve, les voix nouvelles de Sara Lazzaroni, Jonathan Ruel et Christian Guay-Poliquin : trois avancées pour réinventer la roue, la route et le voyage.

[Recension] 2016-12-05 Nicolas Vigneau parle de mon livre à l'émission L'oreille hardie de CFIM dans le cadre de sa chronique hebdomadaire.

Nicolas Vigneau recommande la lecture de mon roman qu'il qualifie de « très fort » et « une histoire intrigante ».

C'est flyé, c'est très bon, c'est très bien écrit.

[Entrevue] 2016-11-24 Entrevue radiophonique avec Denys Lelièvre à CKRL FM. Émission complète ; l'entrevue est à 1:29:25

Denys Lelièvre me pose des questions sur son frère Sylvain Lelièvre, la science et la religion dans mon roman qu'il appelle « roman vraiment sublime ». D'entrée de jeu, il dit :

C'est un livre assez remarquable, exceptionnel que vous nous offrez là, c'est-à-dire que c'est copieux, c'est volumineux, mais pas pour rien parce que vous bâtissez tout un univers original.

[Recension] 2016-11-15 Miruna Craciunescu partage ses réflexions sur mon livre sur le site La Recrue du Mois

[Recension] 2016-11-14 Claudia Larochelle recommande le livre dans le webmagazine LIRE. Épisode complet

[Mention] 2016-11-14 P.-A. Buisson partage la rumeur favorable au sujet de mon livre, tout juste avant le Salon du livre de Montréal, sur le site Les Barbiers. Article

[Critique] 2016-11-08 Catherine Brunet parle de mon livre à l'émission Les herbes folles de CISM FM. Émission complète ; la critique est à 15:38

Catherine Brunet partage des réflexions intéressantes sur le réel et l'irréel dans ce roman qu'elle juge « très intéressant » et « pas un livre comme les autres ».

En terminant, c'est bien écrit, une écriture soutenue malgré les 509 pages, un premier roman fort, un roman qui avance, qui nous fait avancer avec le personnage.

[Entrevue] 2016-11-06 Entrevue avec Stéphanie Thériault au Café des écrivains Radio-Canada, dans le cadre du Salon du livre de Rimouski. Entrevue non disponible en ligne.

[Article] 2016-10-21 « Un scientifique au Salon du livre de Rimouski » Élodie Vaillancourt, Journal L'Avantage

[Critique] 2016-10-08 « L'amour au temps du doctorat ». Christian Desmeules, Le Devoir

Mais Jonathan Ruel semble avoir trouvé une voix bien à lui, faite de candeur et de mélancolie, de science et de mouvement. Ce qui n’est pas rien.

[Entrevue] 2016-10-03 Entrevue radiophonique avec Gabrielle Brisebois à CFLO FM. Entrevue complète

Gabrielle Brisebois pose des questions pertinentes et dit avoir « adoré » le roman.

Salut Sylvain !, un bel album et un hommage intelligent

J'écris ces réflexions sur Salut Sylvain ! (lien iTunes), pour moi-même d’abord, puis pour dire, tout simplement, que j'aime beaucoup cet album. En temps normal, je n'oserais pas me croire le moindrement qualifié pour parler de musique, mais je suis minimalement qualifié en ce qui a trait à l'oeuvre de Sylvain Lelièvre parce que je suis en quelque sorte un super fan : je la connais toute par coeur, et j'ai publié cet automne mon premier roman qui est dédié à Sylvain et qui contient un hommage à ma manière.

Tout d'abord, un verdict général, pour ceux qui, comme moi, pourraient se montrer sceptiques face à un album de reprises : c'est très bien fait. Sous la direction artistique de Monique Giroux et avec Alex McMahon à la réalisation, les interprètes n'ont aucunement tenté d'« améliorer » les chansons en les chantant plus fort et avec plus d'émotion, au contraire : la retenue est palpable partout, ou dans certains cas du moins la bonne mesure. Aussi, une note : vous ne me verrez pas dire laquelle est meilleure, de la reprise ou de l'originale. L'originale existe toujours (liens iTunes tout en bas!), ce qui est fantastique, alors pour être bonne et pertinente, la reprise doit apporter un éclairage différent sur la chanson.

Salut Sylvain !

* * *

L'album s'ouvre, comme la carrière « populaire » de Sylvain, sur Petit matin, cette fois chantée par Ariane Moffatt. Alors que l'originale avait une mélodie relativement joyeuse, accompagnée des sifflements de Stéphane Venne, et se terminait sur un air de piano « de ma grand-mère » presque dansant, cette version s'ouvre sur une mélodie de piano lente et froide, où s'ajoutent des notes (et des instruments) à mesure que la chanson avance et qu'Ariane Moffatt chante le « gris » du monde.

Étant de nature plutôt joviale et optimiste, je suis d'abord resté perplexe devant cette lecture, me demandant si l’inquiétude exprimée si fort était justifiée. Mais au lendemain de l'élection de Trump, je ne peux pas m'empêcher de trouver que la version d'Ariane Moffatt chante exactement 2016. (Youtube)

En ce sens, Petit matin est la première des chansons « engagées » de l'album. Je mets le mot entre guillemets parce que n'ai jamais eu l'impression que les chansons de Sylvain étaient engagées « pour être engagées ». Toutes ses chansons sont le produit de la même sensibilité, et celle-ci se manifeste de façon assez cohérente d'une chanson à l'autre, qu'on l'appelle engagée ou pas, lorsque son regard se pose plutôt sur les relations interpersonnelles et la société. Pensez à Toi l'ami si vous voulez comprendre ce que je veux dire.

Dans cette catégorie « engagée », mettons aussi Tôt ou tard. Yves Duteil apporte sa personne à la chanson. Ce texte lui va si bien qu’on croirait entendre une de ses propres chansons, tout en douceur, en amour et en poésie. (Youtube)

Il y a aussi Qu'est-ce qu'on a fait de nos rêves ? chantée par Daniel Lavoie, sur laquelle je reviendrai plus tard, et Quand je pense, par Danielle Oddera. Celle-là, exactement au centre de l'album, est un peu différente de toutes les autres. Sylvain a bien chanté cette chanson sur son premier disque en 1971, mais Danielle Oddera l'a endisquée en 1978 et la chante depuis, en un sens c'est devenu sa chanson à elle. Dans ma tête, c'est cette version de 1978 qui est la référence. En lisant la liste des chansons et des interprètes alors que Salut Sylvain ! était en prévente, je me suis dit que j'aurais aimé entendre Danielle Oddera chanter une nouvelle chanson, mais je m’étonne à beaucoup aimer cette nouvelle version.

Déjà enrobé de musique forte en 1971 et en 1978, le très court refrain, Je me demande / Dans quel monde ils vivront ? soutenu par l'orchestration, devient un cri fort et puissant, entre les couplets portant plus d'émotion, pas nécessairement plus de volume, mais une interprétation très touchante de Danielle Oddera. Elle deviendra probablement dans ma tête la nouvelle version de référence. (Youtube)

Finalement, dans À frais virés (partis de zéro), si Sylvain, sur le disque Qu'est-ce qu'on a fait de nos rêves ? (1994) se permettait un peu de rire dans la voix face à l'ironie du monde des puissants, Louis-Jean Cormier, lui, ferme l'album en faisant siennes la colère et l'indignation qui donnent son souffle au texte, au son d'une musique où l'on distingue un rythme simple de guitare et un battement grave et régulier qui n'est pas sans rappeler le bruit des bottes. (Youtube)

Que l'équipe ait choisi de commencer (Petit Matin) et de fermer l'album ainsi, avec Quand je pense en plein centre, me semble significatif. Je n’en rendrai pas de grand verdict sur notre époque, mais on constate à la lumière de ces belles relectures que ces chansons décodent aussi bien le monde de 2016 que celui d’il y a quelques décennies.

* * *

J'étais vraiment très heureux de voir que Carte postale était sur cet album, comme c'est une des chansons méconnues de Sylvain qui sont énormes dans ma mythologie personnelle, chanson qui m'a accompagné, grâce à mon iPod ou parce que je la fredonnais, sur un nombre incalculable de vols de nuit, à une autre époque où je voyageais souvent. La chanson s'ouvre ici sur un motif de piano aux notes embrouillées qui sonne très Antoine Gratton, annonce claire qu'il a fait la chanson sienne. Ce motif revient, joliment, tout au long de la chanson. Après le premier couplet, un rythme fort et clair de batterie apparaît et fait avancer la chanson au même rythme rapide jusqu'à la fin. C'était là mon plus grand choc de l'album. La lenteur et la grandeur de l'orchestre de la version originale m'avaient toujours parlé mélancolie. Antoine Gratton, lui, peut-être plus sainement que moi jadis, semble content d'être en voyage, malgré la solitude, malgré la nuit, et les parfums de sa blonde, dont il ne s'ennuie pas moins, ajoutent à son bonheur. Les mots sur sa carte postale sont en conséquence plus grandiloquents, mais pas moins romantiques que ceux de Sylvain. (Youtube 1 et Youtube 2) C'est probablement ma chanson préférée sur l'album. Je dis probablement, parce qu’il y a aussi Marie-Hélène. Pas facile de choisir...

Alors que cette nouvelle mouture de Carte postale opère un changement de ton, c’est un peu à un changement de point de vue que nous avons affaire pour Marie-Hélène. L’effet est plus clair dans Lettre de Toronto. Émile Proulx-Cloutier n'est pas le « Sylvain » recevant une lettre de son ami, mais bien l'ami qui envoie la lettre, prêt à conquérir le monde. Ce sont encore les mêmes mots, mais nous avons en fin de compte une tout autre chanson. La guitare, lointain écho des cordes extraordinaires de l’originale, finit par se noyer et mourir dans le piano et les percussions des rêves du narrateur. Frissons garantis. (Youtube)

Marie-Hélène chantée par Les sœurs Boulay est de toute beauté, d'un bout à l'autre, surtout là où leurs deux voix se rejoignent, en particulier en harmonie dans le refrain. Là où elles s'écartent de la mélodie de Sylvain, elles la modulent de façon à lui donner un peu plus de mélancolie. À cause de ce changement, et parce que ce sont des jeunes femmes qui chantent, j'ai vraiment l'impression qu'elles chantent le point de vue de Marie-Hélène, malgré la troisième personne. Sylvain, observateur fin et sensible, écrivait tout de même sur quelque chose d'extérieur à lui-même, un certain sentiment de la jeunesse qu’il n’avait pas connu, mais qui a perduré après les années 70. Le dédoublement des voix appuie aussi cette idée qu’elles chantent « la jeunesse », une certaine jeunesse. L’interprétation double est particulièrement touchante pour moi parce que le dédoublement se retrouve aussi dans mon histoire, c’est-à-dire mon roman, ma Marie-Hélène.

La guitare, comme la guitare et les percussions de l’originale, fait avancer la chanson à un rythme marqué et constant, car Marie-Hélène, quand elle n’est pas « en mobylette, en métro ou à pied », quand elle est dans son appartement, « est partie en voyage ». Ils ont tout compris. (Youtube)

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Les autres chansons, comme Carte postale, font ressortir des sentiments nouveaux, toujours dans le respect, avec intelligence et sensibilité. Voici quelques notes en vrac.

La basse-ville. Michel Rivard chante avec peut-être plus de nostalgie que Sylvain, certainement avec une plus grande distance. On entend la fierté de l'enfant à travers Sylvain qui demande « un cornet de crème à glace » ; il déclame fortement que « quand on est de la basse-ville, on n'est pas de la haute-ville ». Le ton se fait plus égal chez Michel Rivard. Pas que ce soit mal, au contraire, il ne pouvait pas être plus près de l'enfant de la basse-ville que Sylvain. Ça me donne l'impression que le narrateur a vieilli, et les émotions de son vieil âge, les émotions des souvenirs lointains, ont une texture différente, mais ne sont pas moins prenantes. (Youtube)

Qu'est-ce qu'on a fait de nos rêves ? Le piano de Sylvain se voit remplacé par des notes électroniques réverbérantes, ce qui laisse toute la place à la voix de Daniel Lavoie, qui sonne contrôlée, atténuée même aux quelques endroits où elle devient plus puissante. Alors que Sylvain pouvait sembler crier au-dehors, à la fois de tristesse et d’espoir en chantant « même trop fous, même trop grands », un mélange semblable de désillusion, de colère, de tristesse devient chez Daniel Lavoie un voyage dans des réflexions intérieures. J’y vois sens une parenté avec La basse-ville de Michel Rivard. Il y a quelque chose d’halluciné à écouter de la musique en conduisant la nuit, quand la route est longue et monotone, que les discussions ou les réflexions se sont épuisées. Voici une chanson parfaite pour l’occasion. (Youtube)

Les choses inutiles. Je n'ai pas connu Sylvain personnellement, mais je ne peux pas m'empêcher de penser à chaque écoute que c'est la chanson qui lui aurait fait le plus plaisir. Les choses inutiles était déjà bien jazzée dans sa version originale et dans Versant Jazz 2, mais Emilie-Claire Barlow apporte quelque chose qui était hors d'atteinte pour Sylvain, une voix féminine à la texture du jazz et à l'accent anglophone. (Youtube)

Toi l'ami. Une grande chanson portée par une « grande voix », celle d’Isabelle Boulay. Un peu comme pour Yves Duteil, la personnalité publique d'Isabelle Boulay, à l’image de celle de Sylvain quand il la chantait, nous permet de croire d'emblée à la sincérité qu'on entend. S'ensuivent les grandes émotions et la larme à l’oeil. (Youtube)

Qui saura jamais. Une autre de ces chansons moins connues que j'aime beaucoup. Bïa chante sa reconnaissance avec douceur, avec tendresse et amour ; c'était aussi le cas chez Sylvain, mais alors que chez lui, le tout exprimait aussi une certaine fragilité, ici c'est plutôt d'une grande joie que Bïa me parle. Sylvain chantait avant son « soir de première » ; Bïa, pendant ou après. (Youtube)

Venir au monde. Le Venir au monde de Sylvain en 1981 avait une ouverture plutôt dramatique, puis le piano et l'orchestre nous emmenaient dans la grandeur de l'amour romantique, et la beauté poétique du texte. La musique souvent plus joyeuse, toujours moins dramatique et l’interprétation calme et douce de Catherine Major me parlent d'un amour avec un plus petit a, envisagé au jour le jour, l'amour d'un coeur qui a aimé différemment, peut-être, que celui de Sylvain. Certainement, elle donne le goût du bonheur. (Youtube)

* * *

Salut Sylvain ! sur iTunes

Les chansons originales :

(voir aussi http://www.sylvainlelievre.com/musique/)

L'intégrale de Sylvain Lelièvre (1975-1989)

Qu'est-ce qu'on a fait de nos rêves

Les choses inutiles

Versant jazz

Versant jazz 2

Chansons retrouvées

Compilations récentes :

Au milieu de nous deux

Petite anthologie | de Limoilou à Tombouctou. GSI Musique, GSIC592 (pas de lien iTunes)

Dans les médias, août et septembre 2016

L'astronome dur à cuire

[Critique] 2016-09-13 « L'ASTRONOME DUR À CUIRE, de Jonathan Ruel » Gabriel Marcoux-Chabot

L’astronome dur à cuire est un des meilleurs romans qu’il m’ait été donné de lire dans les dernières années. Je suis sincère. L’écriture est simple et belle. Les personnages sont fascinants. Le monde à travers leurs yeux semble plus lumineux, plus exaltant.

[Article] 2016-09-10 « Un premier roman pour Jonathan Ruel » Serge Lamontagne, La Voix du Sud

[Entrevue] 2016-09-07 Entrevue radiophonique avec Rock Bernier à Passion FM. Article et extraits

[Mention] 2016-09-02 « Romans pour polir ou démolir le réel » Valérie Lessard, Le Droit

Pendant ce temps, les personnages de Jonathan Ruel prennent la route en quête de sens à donner à la vie de Jésus et en se posant d'autres questions tout aussi existentielles dans un road trip réinventé ayant pour titre L'astronome dur à cuire (Druide).

[Mention] 2016-08-22 « Rentrée 2016 : Littérature québécoise » Josée-Anne Paradis, Les libraires - numéro 96

Pour les lecteurs aventureux [...] À lire aussi : [...] Prophète de hasard de Georges Desmeules (Lévesque éditeur) L’astronome dur à cuire de Jonathan Ruel (Druide) [...]

[Mention] 2016-08-22 « Les 50 livres québécois les plus attendus de l'automne 2016 » Samuel Larochelle, Le Huffington Post Québec

À surveiller On portera également un regard très attentif à L’astronome dur à cuire de Jonathan Ruel (Druide, septembre); [...]